Cette affaire avec $FLOW, elle est vraiment étouffante. 3,9 millions de dollars américains volés, quelle a été la réaction de l'équipe ? Revenir directement en arrière sur la transaction sur la blockchain. Ça vous paraît ? Les actifs du hacker n'ont pas été récupérés, mais au contraire, des millions d'utilisateurs ordinaires ont vu leurs historiques de transactions supprimés en un clic.
Je dois poser une question : est-ce que ça résout le problème ? C'est exactement ça qui détruit le dernier voile de la blockchain — l'immutabilité.
Une blockchain prétendument décentralisée, et en une seule phrase de l'équipe du projet, l'historique du registre peut être réécrit. Qu'est-ce qu'il reste de notre fameux « Code is Law » ? La « décentralisation » écrite noir sur blanc dans le white paper, elle montre son vrai visage au moment critique. Une équipe centralisée tape sur le front, et décide du destin des actifs de millions d'utilisateurs.
Ce qui est vraiment effrayant dans cette affaire, ce n'est pas l'attaque du hacker, mais le fait qu'elle déchire le plus grand mensonge de cette industrie : beaucoup de blockchains ne sont en réalité pas décentralisées, elles ne sont qu'un système centralisé déguisé.
Il faut maintenant réfléchir à une question essentielle : qu'est-ce qui mérite vraiment notre confiance ?
Croire qu'une équipe technique ne fera jamais d'erreurs ? Croire qu'une blockchain ne changera jamais ses règles en cas d'événement imprévu ? Ou alors, ne devrions-nous pas placer notre confiance dans ces promesses peu fiables ?
La vraie réponse pourrait se trouver dans une autre direction — construire un mécanisme de vérification dès la source via un réseau de données décentralisé, où les données sont fournies par des nœuds indépendants à l’échelle mondiale, et ne sont inscrites sur la blockchain qu’après consensus du réseau. Une fois confirmée, elle devient une histoire véritablement immuable. Personne ne peut la révoquer unilatéralement, aucune équipe ne détient un pouvoir absolu. C’est ainsi qu’on résout fondamentalement la question de la confiance.
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RamenDeFiSurvivor
· Il y a 18h
Annuler la transaction ? Je rigole, c'est juste une banque qui change de peau.
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SigmaValidator
· Il y a 18h
Annuler la transaction ? Ce n'est pas se tirer une balle dans le pied, où est le livre blanc, la décentralisation ?
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notSatoshi1971
· Il y a 18h
Rétrogradation ? Ce n’est pas autre chose qu’un redémarrage après suppression, je rigole.
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Encore une arnaque centralisée sous le drapeau de la décentralisation, je l’avais déjà vu venir.
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3,9 millions non récupérés, et en plus, les enregistrements de transactions des utilisateurs ordinaires ont disparu ? C’est quoi cette solution ?
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Attendez, ils peuvent vraiment changer de chaîne en un clic ? Alors je vais devoir bien réfléchir à où mettre mes tokens pour être en sécurité.
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Code is Law ? Laissez tomber, maintenant c’est Team is God.
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Cette affaire est tellement exposée qu’elle est encore plus gênante que le hacker lui-même.
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Pourquoi l’équipe peut-elle changer quand elle veut ? On joue juste à l’ombre.
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Alors, quelle chaîne est vraiment décentralisée ? Je ne peux plus y croire maintenant.
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La validation par des nœuds indépendants est la seule voie, tout le reste n’est que du blabla.
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L’opération FLOW, c’est comme si toute l’industrie avait été démasquée.
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MemeTokenGenius
· Il y a 18h
Chaîne de rollback ? Putain, c'est pour ça que je ne fais pas confiance à 90 % des blockchains publiques
Cette affaire avec $FLOW, elle est vraiment étouffante. 3,9 millions de dollars américains volés, quelle a été la réaction de l'équipe ? Revenir directement en arrière sur la transaction sur la blockchain. Ça vous paraît ? Les actifs du hacker n'ont pas été récupérés, mais au contraire, des millions d'utilisateurs ordinaires ont vu leurs historiques de transactions supprimés en un clic.
Je dois poser une question : est-ce que ça résout le problème ? C'est exactement ça qui détruit le dernier voile de la blockchain — l'immutabilité.
Une blockchain prétendument décentralisée, et en une seule phrase de l'équipe du projet, l'historique du registre peut être réécrit. Qu'est-ce qu'il reste de notre fameux « Code is Law » ? La « décentralisation » écrite noir sur blanc dans le white paper, elle montre son vrai visage au moment critique. Une équipe centralisée tape sur le front, et décide du destin des actifs de millions d'utilisateurs.
Ce qui est vraiment effrayant dans cette affaire, ce n'est pas l'attaque du hacker, mais le fait qu'elle déchire le plus grand mensonge de cette industrie : beaucoup de blockchains ne sont en réalité pas décentralisées, elles ne sont qu'un système centralisé déguisé.
Il faut maintenant réfléchir à une question essentielle : qu'est-ce qui mérite vraiment notre confiance ?
Croire qu'une équipe technique ne fera jamais d'erreurs ? Croire qu'une blockchain ne changera jamais ses règles en cas d'événement imprévu ? Ou alors, ne devrions-nous pas placer notre confiance dans ces promesses peu fiables ?
La vraie réponse pourrait se trouver dans une autre direction — construire un mécanisme de vérification dès la source via un réseau de données décentralisé, où les données sont fournies par des nœuds indépendants à l’échelle mondiale, et ne sont inscrites sur la blockchain qu’après consensus du réseau. Une fois confirmée, elle devient une histoire véritablement immuable. Personne ne peut la révoquer unilatéralement, aucune équipe ne détient un pouvoir absolu. C’est ainsi qu’on résout fondamentalement la question de la confiance.