Le budget de l'exercice 2026 au Japon vient d'être annoncé : dépenses totales de 122 billions de yens, revenus fiscaux de 83 billions, le déficit étant comblé par l'émission de nouvelles obligations publiques de 29,6 billions. Le Premier ministre Kishida a utilisé une expression intéressante — « emprunter de manière responsable et proactive » — pour le dire poliment, c'est en réalité le gouvernement qui sort à nouveau une nouvelle carte de crédit pour continuer à vivre.
La situation actuelle du Japon est très typique : vieillissement de la population, baisse continue de la volonté de consommation, persistance de la déflation. La seule solution du gouvernement est d’accroître les investissements publics pour stimuler l’économie, mais cette stratégie est usée jusqu’à la corde. Le problème, c’est qu’une fois que la dette publique continue de croître, lorsque les taux d’intérêt montent, le calcul devient vraiment difficile.
En résumé, c’est un cercle vicieux : si les recettes ne suffisent pas, on emprunte ; plus on emprunte, plus la pression sur les intérêts augmente ; lorsque les intérêts montent, toute la structure de la dette est en danger. La crise du Japon reflète aussi d’une certaine manière une caractéristique commune des économies mondiales — ralentissement de la croissance, accumulation de dettes, espace de manœuvre politique réduit.
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WhaleMistaker
· Il y a 15h
Cette façon de parler de "dette responsable" au Japon ressemble à une tentative de prolonger la vie de l'inflation, pas étonnant que tout le monde mise sur le BTC.
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TradFiRefugee
· Il y a 15h
Au Japon, cette stratégie est vraiment à bout de souffle. Continuer à imprimer de l'argent et à emprunter, en attendant le jour où les taux d'intérêt grimperont.
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ZenChainWalker
· Il y a 15h
Ce genre de stratégie au Japon nous en avons déjà assez vu, pour faire simple, c'est un boule de neige de dettes qui grossit sans cesse, et au final il faut toujours compter sur l'inflation pour l'atténuer... C'est à ce moment-là qu'on comprend pourquoi tout le monde accumule du BTC.
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MerkleDreamer
· Il y a 15h
Ce genre de stratégie au Japon ne peut pas durer longtemps, "emprunter de manière responsable" sonne bien, mais en réalité c'est de la QE illimitée... À ce moment-là, je suis encore plus convaincu de la conception de la rareté des actifs cryptographiques.
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rekt_but_resilient
· Il y a 15h
La manœuvre de prolongation de vie de cette carte de crédit au Japon finira tôt ou tard par devoir rembourser, c'est pourquoi nous avons besoin de BTC
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Un autre pays commence à imprimer de l'argent de manière folle, pas étonnant que les institutions accumulent du Bitcoin
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"Emprunter de manière responsable et proactive", en gros c'est faire faillite de manière responsable
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Le monde entier est en train de s'enliser dans l'endettement, et à ce moment-là, il y en a encore qui me demandent pourquoi tout mettre dans la cryptographie
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Aujourd'hui au Japon, demain en Europe et en Amérique, je parie sur cinq ETH
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Vraiment, après avoir lu ce projet de budget, je suis encore plus convaincu que la monnaie fiduciaire ne durera pas longtemps
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Remplir le déficit avec des obligations publiques ? Ce n'est pas autre chose que repousser le problème, et ce sont finalement les petits investisseurs qui en paieront le prix
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Une fois que les taux d'intérêt augmentent, la dette explose, autant passer directement aux actifs numériques
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ForkItAllDay
· Il y a 15h
Ce jeu de ruse japonais pour rembourser la dette et prolonger la vie, tôt ou tard, il faudra rembourser la facture. À ce moment-là, je suis encore plus optimiste quant aux actifs en chaîne.
#比特币与黄金战争 $BTC $ETH $BNB
Le budget de l'exercice 2026 au Japon vient d'être annoncé : dépenses totales de 122 billions de yens, revenus fiscaux de 83 billions, le déficit étant comblé par l'émission de nouvelles obligations publiques de 29,6 billions. Le Premier ministre Kishida a utilisé une expression intéressante — « emprunter de manière responsable et proactive » — pour le dire poliment, c'est en réalité le gouvernement qui sort à nouveau une nouvelle carte de crédit pour continuer à vivre.
La situation actuelle du Japon est très typique : vieillissement de la population, baisse continue de la volonté de consommation, persistance de la déflation. La seule solution du gouvernement est d’accroître les investissements publics pour stimuler l’économie, mais cette stratégie est usée jusqu’à la corde. Le problème, c’est qu’une fois que la dette publique continue de croître, lorsque les taux d’intérêt montent, le calcul devient vraiment difficile.
En résumé, c’est un cercle vicieux : si les recettes ne suffisent pas, on emprunte ; plus on emprunte, plus la pression sur les intérêts augmente ; lorsque les intérêts montent, toute la structure de la dette est en danger. La crise du Japon reflète aussi d’une certaine manière une caractéristique commune des économies mondiales — ralentissement de la croissance, accumulation de dettes, espace de manœuvre politique réduit.