【链文】L’UE a récemment relancé le débat autour du « Règlement sur les services numériques ». La philosophie de gouvernance mise en avant par cette réglementation, le concept de « zéro espace », consiste simplement à éliminer complètement les contenus controversés — que ce soit les discours haineux, les fausses informations, tout doit être interdit. Cela ressemble à une tentative de maintenir l’ordre, mais est-ce vraiment une approche viable ?
Vitalik a récemment partagé plusieurs réflexions. Il pense que cette approche de gouvernance « à la hache » mène en réalité vers un régime autoritaire. Pourquoi ? Parce qu’une fois que l’on commence à définir ce qu’est un « contenu nuisible », cela risque inévitablement de provoquer des conflits — qui décide des standards ? Comment ces standards sont-ils définis ? Au final, cela risque de se transformer en une application systématique de jugements subjectifs par des bureaucrates techniques. Ce genre de démarche est en réalité une catastrophe pour une société pluraliste.
Son point de vue principal est très simple : dans une société libre, il y aura toujours des gens qui veulent vendre des « choses dangereuses » ou promouvoir de « mauvaises idées », c’est inévitable. Mais le problème ne réside pas dans la possibilité d’éliminer totalement ces voix, mais dans la manière d’empêcher qu’elles monopolisent tout l’espace de discussion.
Alors, que faire ? Vitalik propose une alternative — utiliser des « mécanismes d’incitation » à la place des « interdictions », pour encourager des plateformes sociales plus ouvertes et transparentes. En d’autres termes, plutôt que de supprimer ou censurer, il serait préférable de donner aux utilisateurs la capacité d’identifier, filtrer et évaluer eux-mêmes l’information. Cette approche d’« empowerment » des utilisateurs est plus conforme à l’esprit décentralisé du Web3.
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NFT_Therapy
· 12-27 01:40
La logique de l'UE est vraiment absurde, qui décide ce qui est "nocif" ? Aujourd'hui, c'est des discours de haine, demain ce sera des voix d'opposition
Vitalik a raison, une fois la censure commencée, on ne peut plus s'arrêter, c'est finalement le pouvoir qui décide
Plutôt que de purifier, il vaut mieux laisser le marché choisir lui-même, la libre circulation de l'information est ce que le web3 devrait être, non ?
Ce genre de "tolérance zéro" est en réalité une pensée centralisée, c'est risible
Pourquoi être aussi obsédé par le contrôle ? Céder du pouvoir, c'est la mort assurée
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ConsensusBot
· 12-27 01:36
Vitalik a raison, cette logique de l'UE n'est qu'une façon d'engraisser la machine bureaucratique...
Qui définit ce qui est "nocif" ? N'est-ce pas le début de la recherche de rente par le pouvoir...
L'intolérance zéro, c'est agréable à entendre, mais sa mise en œuvre n'est qu'un spectacle de censure, on pense vraiment pouvoir éradiquer complètement ?
Le marché de la liberté d'expression devrait être compétitif, si l'on impose une règle unique... cela ne peut aboutir qu'à un cauchemar centralisé
La façon dont la DSA fonctionne est à l'opposé de l'esprit originel du Web3, on croit encore trop au système pour qu'il soit "neutre"
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GasWaster
· 12-27 01:16
vitalik cette fois a raison, cette affaire de l'UE c'est clairement une censure
qui définit "nocif" ? les bureaucrates ? lol, c'est ça le nouveau totalitarisme
zéro tolérance finit toujours par devenir zéro liberté, c'est la vieille rengaine
je pense que la DSA, tôt ou tard, ça va échouer
en gros, ils ont juste peur d'être définis, qui peut décider des standards...
l'UE veut jouer gros, mais elle se tire une balle dans le pied
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ChainWatcher
· 12-27 01:14
vitalik dit vrai, une fois que le pouvoir commence à fixer les normes, ce n'est pas fini... Aujourd'hui, c'est la haine en ligne, demain ce sera "pas conforme aux valeurs dominantes", et finalement tout deviendra une substance interdite
Ce système de tolérance zéro de l'UE est en réalité une blague, la technologie peut-elle vraiment assurer une modération parfaite ? Absolument pas
À qui revient la définition du "contenu nuisible" ? Voilà la vraie question centrale
Web3 doit rejeter cette censure centralisée et construire une infrastructure véritablement basée sur la liberté d'expression
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MetaverseLandlord
· 12-27 01:13
L'Union européenne veut vraiment mettre une corde autour du cou d'Internet... Qui définit le contenu nuisible ? Dire que c'est pour purifier, c'est joli, mais en réalité c'est de la censure, V神 a raison
Pour que cette chose fonctionne réellement, le web3 est probablement le dernier refuge de liberté... Les plateformes centralisées finiront tôt ou tard à genoux
Zero tolerance, ça sonne bien, mais dans la réalité, c'est un désastre. Dans une société diversifiée, on ne peut pas accepter une telle extrême
Qui établit les standards ? Les bureaucrates de l'Union européenne ? N'est-ce pas justement concentrer le pouvoir entre les mains de quelques-uns... Ce n'est pas ce que nous combattons ?
La liberté d'expression, plus on veut tout contrôler, plus cela risque de poser problème
Liberté d'expression vs régulation « purification » : que pense Vitalik de la gouvernance « tolérance zéro » du DSA de l'UE
【链文】L’UE a récemment relancé le débat autour du « Règlement sur les services numériques ». La philosophie de gouvernance mise en avant par cette réglementation, le concept de « zéro espace », consiste simplement à éliminer complètement les contenus controversés — que ce soit les discours haineux, les fausses informations, tout doit être interdit. Cela ressemble à une tentative de maintenir l’ordre, mais est-ce vraiment une approche viable ?
Vitalik a récemment partagé plusieurs réflexions. Il pense que cette approche de gouvernance « à la hache » mène en réalité vers un régime autoritaire. Pourquoi ? Parce qu’une fois que l’on commence à définir ce qu’est un « contenu nuisible », cela risque inévitablement de provoquer des conflits — qui décide des standards ? Comment ces standards sont-ils définis ? Au final, cela risque de se transformer en une application systématique de jugements subjectifs par des bureaucrates techniques. Ce genre de démarche est en réalité une catastrophe pour une société pluraliste.
Son point de vue principal est très simple : dans une société libre, il y aura toujours des gens qui veulent vendre des « choses dangereuses » ou promouvoir de « mauvaises idées », c’est inévitable. Mais le problème ne réside pas dans la possibilité d’éliminer totalement ces voix, mais dans la manière d’empêcher qu’elles monopolisent tout l’espace de discussion.
Alors, que faire ? Vitalik propose une alternative — utiliser des « mécanismes d’incitation » à la place des « interdictions », pour encourager des plateformes sociales plus ouvertes et transparentes. En d’autres termes, plutôt que de supprimer ou censurer, il serait préférable de donner aux utilisateurs la capacité d’identifier, filtrer et évaluer eux-mêmes l’information. Cette approche d’« empowerment » des utilisateurs est plus conforme à l’esprit décentralisé du Web3.