Vous effectuez un échange de tokens sur un DEX, ouvrez un coffre dans un jeu blockchain, ou liquidez une position sur un protocole de prêt — tous ces opérations on-chain sont en réalité déterminées par un maillon discret : la circulation des données. Le problème, c’est que cette voie est souvent d’une vulnérabilité alarmante.
Regardez ces chiffres pour comprendre : ces dernières années, l’écosystème blockchain a subi des pertes de plus de 1,3 milliard de dollars à cause d’attaques sur les oracles. Ça paraît fou, non ? Mais cela reflète une réalité douloureuse — le registre blockchain lui-même est à l’abri, mais l’entrée des données externes est souvent totalement vulnérable.
Ce n’est qu’avec l’émergence d’oracles à architecture double réseau comme APRO que l’on a commencé à mettre en place un « système de protection des données » complet, portant la sécurité des applications on-chain à un nouveau niveau.
**Pourquoi une faille dans les données est-elle si fatale ?**
Imaginez que vous voyez le prix d’un token particulièrement bas dans une application DeFi, et que vous achetez en pensant qu’il est sous-évalué. Résultat ? Ce prix n’est en réalité qu’une donnée falsifiée, manipulée artificiellement. Au moment de la transaction, le prix s’effondre brutalement, et votre capital disparaît avec.
C’est là que la faille des oracles devient terrifiante. La blockchain est un système autonome, et les smart contracts ne peuvent pas récupérer eux-mêmes des données hors chaîne. Ils dépendent d’une source d’informations externe. Le problème avec les oracles traditionnels, c’est qu’ils ont généralement un ou deux fournisseurs de données. Si ce nœud est corrompu, attaqué ou défaillant, toute la base de données sur laquelle repose l’écosystème s’effondre.
**Comment le réseau de vérification à double couche d’APRO résout-il ce problème ?**
La solution d’APRO est à la fois simple et robuste. Elle ne repose pas sur une seule source de données, mais construit un mécanisme de vérification à double niveau :
La première couche est un réseau de données hors chaîne — regroupant en temps réel des informations provenant de centaines de sources indépendantes, garantissant qu’aucun nœud seul ne peut manipuler le résultat. La seconde couche consiste en une vérification et une arbitration sur la chaîne, utilisant un mécanisme de consensus distribué pour assurer la validité finale des données.
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SilentAlpha
· Il y a 2h
13 milliards de dollars s'en sont ainsi allés, il faut vraiment prendre au sérieux le domaine des oracles
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Une panne unique est vraiment fatale, pas étonnant que la DeFi soit si facilement vulnérable
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La double vérification semble une bonne idée, mais on craint que sa mise en œuvre soit une autre histoire
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Merde, j'ai déjà été piégé par de fausses données auparavant, ce genre de problème continue de se produire
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La consensus distribué paraît sophistiqué, mais combien de projets parviennent réellement à bien le faire ?
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La solution APRO est bien expliquée, mais l'essentiel est de voir comment fonctionne la vérification sur la chaîne
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La vulnérabilité du point d'entrée des données est un vrai problème, la sécurité de la blockchain n'est pas encore totalement résolue
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PanicSeller69
· 12-26 22:46
Les oracles ont toujours été un piège, une leçon de 1,3 milliard de dollars en sang... La double validation semble fiable, mais il faut voir comment cela fonctionne réellement en pratique.
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GasFeeTherapist
· 12-26 22:38
Les leçons tirées de 1,3 milliard de dollars doivent encore dépendre des oracles pour sauver la mise, c'est là le véritable problème d'infrastructure
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SchrodingerGas
· 12-26 22:26
Encore une fois, la vieille rengaine des oracles, il faut bien calculer le coût économique de l'échec ponctuel sur la facture de 1,3 milliard de dollars.
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TokenAlchemist
· 12-26 22:26
Ngl, la perte de 1,3 milliard de dollars liée à l'oracle est exactement la raison pour laquelle j'ai arrêté de faire confiance aux flux de prix à source unique... la vérification à double couche a enfin du sens
Vous effectuez un échange de tokens sur un DEX, ouvrez un coffre dans un jeu blockchain, ou liquidez une position sur un protocole de prêt — tous ces opérations on-chain sont en réalité déterminées par un maillon discret : la circulation des données. Le problème, c’est que cette voie est souvent d’une vulnérabilité alarmante.
Regardez ces chiffres pour comprendre : ces dernières années, l’écosystème blockchain a subi des pertes de plus de 1,3 milliard de dollars à cause d’attaques sur les oracles. Ça paraît fou, non ? Mais cela reflète une réalité douloureuse — le registre blockchain lui-même est à l’abri, mais l’entrée des données externes est souvent totalement vulnérable.
Ce n’est qu’avec l’émergence d’oracles à architecture double réseau comme APRO que l’on a commencé à mettre en place un « système de protection des données » complet, portant la sécurité des applications on-chain à un nouveau niveau.
**Pourquoi une faille dans les données est-elle si fatale ?**
Imaginez que vous voyez le prix d’un token particulièrement bas dans une application DeFi, et que vous achetez en pensant qu’il est sous-évalué. Résultat ? Ce prix n’est en réalité qu’une donnée falsifiée, manipulée artificiellement. Au moment de la transaction, le prix s’effondre brutalement, et votre capital disparaît avec.
C’est là que la faille des oracles devient terrifiante. La blockchain est un système autonome, et les smart contracts ne peuvent pas récupérer eux-mêmes des données hors chaîne. Ils dépendent d’une source d’informations externe. Le problème avec les oracles traditionnels, c’est qu’ils ont généralement un ou deux fournisseurs de données. Si ce nœud est corrompu, attaqué ou défaillant, toute la base de données sur laquelle repose l’écosystème s’effondre.
**Comment le réseau de vérification à double couche d’APRO résout-il ce problème ?**
La solution d’APRO est à la fois simple et robuste. Elle ne repose pas sur une seule source de données, mais construit un mécanisme de vérification à double niveau :
La première couche est un réseau de données hors chaîne — regroupant en temps réel des informations provenant de centaines de sources indépendantes, garantissant qu’aucun nœud seul ne peut manipuler le résultat. La seconde couche consiste en une vérification et une arbitration sur la chaîne, utilisant un mécanisme de consensus distribué pour assurer la validité finale des données.