Dans une poussée diplomatique significative à l’approche des réunions en Alaska, les dirigeants occidentaux intensifient leurs efforts pour façonner l’agenda des discussions entre les États-Unis et la Russie. Les nations européennes ont exprimé des positions fermes sur la manière dont toute éventuelle négociation de paix devrait se dérouler, en particulier en ce qui concerne le rôle de l’Ukraine dans le processus.
Selon des rapports du 13 août, Macron a souligné dans ses communications avec Trump et ses homologues européens que les décisions territoriales concernant l’Ukraine doivent en fin de compte revenir au gouvernement ukrainien lui-même. Cela reflète une préoccupation centrale européenne selon laquelle les règlements ne peuvent pas être imposés d’en haut sans l’implication et le consentement directs de Kiev.
Macron a publiquement exposé le paysage diplomatique actuel, notant que Trump a indiqué que la priorité était de verrouiller un accord de cessez-le-feu lors des prochaines discussions. Il a également précisé qu’aucune proposition substantielle d’ajustement territorial n’est actuellement en cours de négociation par des canaux officiels.
La place de l’Ukraine à la table
Le chancelier allemand Merz a renforcé cette position, soulignant que toute discussion ultérieure doit inclure des représentants ukrainiens. Cette double insistance de Berlin et Paris souligne la détermination européenne à faire en sorte que le gouvernement de Zelensky conserve son pouvoir de négociation plutôt que de devenir un observateur passif des décisions prises par d’autres puissances.
Merz a indiqué que, bien que l’administration Trump se concentre sur la réalisation d’un accord de cessez-le-feu immédiat, les acteurs européens restent tout aussi investis dans la structuration des discussions qui préservent l’agence de l’Ukraine. Le chancelier allemand a clairement indiqué que les futures sessions diplomatiques devront inclure la participation de l’Ukraine pour maintenir leur légitimité parmi les alliés occidentaux.
(Source: Jinshi)
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Trump et les puissances européennes recherchent un terrain d'entente sur les négociations en Ukraine
Dans une poussée diplomatique significative à l’approche des réunions en Alaska, les dirigeants occidentaux intensifient leurs efforts pour façonner l’agenda des discussions entre les États-Unis et la Russie. Les nations européennes ont exprimé des positions fermes sur la manière dont toute éventuelle négociation de paix devrait se dérouler, en particulier en ce qui concerne le rôle de l’Ukraine dans le processus.
Selon des rapports du 13 août, Macron a souligné dans ses communications avec Trump et ses homologues européens que les décisions territoriales concernant l’Ukraine doivent en fin de compte revenir au gouvernement ukrainien lui-même. Cela reflète une préoccupation centrale européenne selon laquelle les règlements ne peuvent pas être imposés d’en haut sans l’implication et le consentement directs de Kiev.
Macron a publiquement exposé le paysage diplomatique actuel, notant que Trump a indiqué que la priorité était de verrouiller un accord de cessez-le-feu lors des prochaines discussions. Il a également précisé qu’aucune proposition substantielle d’ajustement territorial n’est actuellement en cours de négociation par des canaux officiels.
La place de l’Ukraine à la table
Le chancelier allemand Merz a renforcé cette position, soulignant que toute discussion ultérieure doit inclure des représentants ukrainiens. Cette double insistance de Berlin et Paris souligne la détermination européenne à faire en sorte que le gouvernement de Zelensky conserve son pouvoir de négociation plutôt que de devenir un observateur passif des décisions prises par d’autres puissances.
Merz a indiqué que, bien que l’administration Trump se concentre sur la réalisation d’un accord de cessez-le-feu immédiat, les acteurs européens restent tout aussi investis dans la structuration des discussions qui préservent l’agence de l’Ukraine. Le chancelier allemand a clairement indiqué que les futures sessions diplomatiques devront inclure la participation de l’Ukraine pour maintenir leur légitimité parmi les alliés occidentaux.
(Source: Jinshi)