La participation de la marque sportive Puma a connu une hausse notable lors de la séance de jeudi à l’XETRA, avec une augmentation d’environ 13 % et atteignant 19,31 € — soit une hausse de 2,31 € par action. La montée est survenue après la circulation de rapports de marché évoquant un intérêt concurrent pour l’acquisition du fabricant allemand de vêtements de sport par plusieurs entreprises chinoises et japonaises de premier plan.
Selon les informations de Bloomberg, un trio de grands acteurs est apparu comme des candidats potentiels. Anta Sports de Chine s’est positionnée comme une prétendante principale, tandis que la puissance chinoise de prêt-à-porter Li Ning a également été signalée comme une partie sérieuse intéressée. La société japonaise Asics Corp a également été mentionnée parmi les acquéreurs potentiels visant la marque.
La dynamique entourant cette éventuelle transaction dépend fortement d’Artemis, l’actionnaire majoritaire de Puma contrôlant une participation de 29 %. Artemis sert d’entité holding pour l’empire familial influent français Pinault et est le propriétaire principal du conglomérat de luxe Kering — qui détient le portefeuille de marques Gucci. Ces dernières années, Artemis a adopté une stratégie d’investissement agressive, bien que cette expansion ait été accompagnée d’une augmentation des obligations de dette qui pèsent sur le profil financier du groupe.
Un défi critique qui plane sur les négociations concerne les attentes en matière d’évaluation. Des sources indiquent que les exigences de prix d’Artemis pour Puma pourraient créer des obstacles importants pour les négociateurs. La position d’endettement ambitieuse de la holding et ses obligations financières correspondantes suggèrent qu’ils pourraient rechercher une valorisation premium, ce qui pourrait exclure ou compliquer les offres des acheteurs potentiels sur le marché.
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L'action Puma grimpe de près de 14 % dans un contexte de course aux offres d'acquisition de la part de plusieurs géants asiatiques
La participation de la marque sportive Puma a connu une hausse notable lors de la séance de jeudi à l’XETRA, avec une augmentation d’environ 13 % et atteignant 19,31 € — soit une hausse de 2,31 € par action. La montée est survenue après la circulation de rapports de marché évoquant un intérêt concurrent pour l’acquisition du fabricant allemand de vêtements de sport par plusieurs entreprises chinoises et japonaises de premier plan.
Selon les informations de Bloomberg, un trio de grands acteurs est apparu comme des candidats potentiels. Anta Sports de Chine s’est positionnée comme une prétendante principale, tandis que la puissance chinoise de prêt-à-porter Li Ning a également été signalée comme une partie sérieuse intéressée. La société japonaise Asics Corp a également été mentionnée parmi les acquéreurs potentiels visant la marque.
La dynamique entourant cette éventuelle transaction dépend fortement d’Artemis, l’actionnaire majoritaire de Puma contrôlant une participation de 29 %. Artemis sert d’entité holding pour l’empire familial influent français Pinault et est le propriétaire principal du conglomérat de luxe Kering — qui détient le portefeuille de marques Gucci. Ces dernières années, Artemis a adopté une stratégie d’investissement agressive, bien que cette expansion ait été accompagnée d’une augmentation des obligations de dette qui pèsent sur le profil financier du groupe.
Un défi critique qui plane sur les négociations concerne les attentes en matière d’évaluation. Des sources indiquent que les exigences de prix d’Artemis pour Puma pourraient créer des obstacles importants pour les négociateurs. La position d’endettement ambitieuse de la holding et ses obligations financières correspondantes suggèrent qu’ils pourraient rechercher une valorisation premium, ce qui pourrait exclure ou compliquer les offres des acheteurs potentiels sur le marché.