Un géant financier canadien avec de solides références en croissance
Lorsqu’on évoque les principales sociétés de gestion d’actifs dans le monde, Brookfield Asset Management fait rarement l’objet de conversations occasionnelles aux États-Unis, pourtant il se positionne comme l’un des poids lourds du Canada dans l’espace d’investissement mondial. Avec des opérations s’étendant sur cinq continents et une présence dominante dans plusieurs classes d’actifs, cette société est devenue discrètement une infrastructure essentielle pour les investisseurs du monde entier cherchant une exposition à tout, de l’énergie renouvelable à l’immobilier et aux actifs d’infrastructure.
L’attractivité réelle pour les investisseurs axés sur le rendement réside cependant dans une combinaison convaincante : un rendement en dividendes actuel de 3,4 % associé à l’engagement de la direction à une croissance annuelle à deux chiffres des dividendes. La société vient d’annoncer une augmentation de dividende de 15 %, ce qui témoigne de sa confiance dans sa trajectoire d’expansion.
Comment Brookfield Asset Management génère de la valeur
Brookfield fonctionne selon un modèle basé sur les frais, percevant des frais de gestion auprès de ses clients en fonction du capital qu’il investit et supervise. Plutôt que de se limiter aux métriques traditionnelles d’actifs sous gestion, la société suit ce qu’elle appelle le capital porteur de frais — essentiellement, la réserve de capitaux investis générant des revenus récurrents de frais.
Le bilan parle de lui-même. En 2020, le capital porteur de frais s’élevait à environ $277 milliards. D’ici 2025, ce chiffre a presque doublé pour atteindre $563 milliards, ce qui représente un taux de croissance annualisé d’environ 15 %. Cette expansion du capital a directement alimenté une croissance annualisée équivalente de 15 % des bénéfices liés aux frais, démontrant la scalabilité du modèle économique.
Aujourd’hui, la plateforme d’investissement de Brookfield comprend cinq segments majeurs : développement d’infrastructures, production d’énergie renouvelable, private equity, solutions immobilières et marchés de crédit. Au sein de chaque division, la société cible trois mégatendances interconnectées qu’elle considère comme représentant une opportunité de $100 trillion : la numérisation, la déglobalisation et la décarbonation. Cette orientation stratégique positionne la société pour capitaliser sur certains des changements structurels les plus importants qui reshaping l’allocation mondiale du capital.
Le plan ambitieux : de $563 milliard à 1,2 billion de dollars d’ici 2030
Après avoir doublé avec succès son capital porteur de frais entre 2020 et 2025, Brookfield a fixé une étape suivante tout aussi ambitieuse : un autre doublement d’ici 2030, portant le total du capital porteur de frais à environ 1,2 billion de dollars. Compte tenu du bilan d’exécution de la direction, cet objectif mérite une attention sérieuse.
Les implications pour les investisseurs en dividendes sont importantes. Avec une croissance annualisée prévue des bénéfices liés aux frais d’environ 17 % — dépassant la récente augmentation de dividende de 15 % — Brookfield semble bien positionné pour soutenir des cycles successifs d’expansion à deux chiffres des dividendes. Mathématiquement, si la croissance des dividendes continue à 15 % par an, le paiement doublerait environ en cinq ans.
Cela positionne Brookfield Asset Management comme une véritable action de croissance de dividendes avec un attrait pour le revenu actuel. Ce rendement de 3,4 % dépasse largement le modeste rendement de 1,2 % du S&P 500, ce qui le rend particulièrement attractif dans le contexte actuel des taux d’intérêt.
Le facteur de sensibilité au marché
Une considération cruciale pour les investisseurs potentiels : la fortune de Brookfield reste liée à la performance des marchés financiers. Lors des marchés baissiers, l’expansion du capital porteur de frais rencontrera des vents contraires, car la valeur des actifs se contracte et l’appétit des investisseurs pour de nouveaux engagements diminue. À l’inverse, lors des marchés haussiers, la croissance s’accélère et les objectifs ambitieux deviennent plus faciles à atteindre.
En tant que plateforme de gestion d’actifs, le prix de l’action BAM et la performance opérationnelle fluctuent naturellement avec les cycles de marché. Les investisseurs à l’aise avec cette réalité cyclique — et confiants dans la stratégie à long terme de la direction — pourraient trouver ce géant financier canadien un complément de portefeuille intrigant.
La convergence d’un rendement actuel attractif, de catalyseurs visibles de croissance des dividendes, et d’une exposition à des tendances mondiales transformatrices crée une thèse d’investissement multifacette qui dépasse largement les portefeuilles traditionnels axés sur le dividende.
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D'une augmentation de 15 % des dividendes à une opportunité de $100 trillion : dans l'une des principales sociétés de gestion d'actifs au monde
Un géant financier canadien avec de solides références en croissance
Lorsqu’on évoque les principales sociétés de gestion d’actifs dans le monde, Brookfield Asset Management fait rarement l’objet de conversations occasionnelles aux États-Unis, pourtant il se positionne comme l’un des poids lourds du Canada dans l’espace d’investissement mondial. Avec des opérations s’étendant sur cinq continents et une présence dominante dans plusieurs classes d’actifs, cette société est devenue discrètement une infrastructure essentielle pour les investisseurs du monde entier cherchant une exposition à tout, de l’énergie renouvelable à l’immobilier et aux actifs d’infrastructure.
L’attractivité réelle pour les investisseurs axés sur le rendement réside cependant dans une combinaison convaincante : un rendement en dividendes actuel de 3,4 % associé à l’engagement de la direction à une croissance annuelle à deux chiffres des dividendes. La société vient d’annoncer une augmentation de dividende de 15 %, ce qui témoigne de sa confiance dans sa trajectoire d’expansion.
Comment Brookfield Asset Management génère de la valeur
Brookfield fonctionne selon un modèle basé sur les frais, percevant des frais de gestion auprès de ses clients en fonction du capital qu’il investit et supervise. Plutôt que de se limiter aux métriques traditionnelles d’actifs sous gestion, la société suit ce qu’elle appelle le capital porteur de frais — essentiellement, la réserve de capitaux investis générant des revenus récurrents de frais.
Le bilan parle de lui-même. En 2020, le capital porteur de frais s’élevait à environ $277 milliards. D’ici 2025, ce chiffre a presque doublé pour atteindre $563 milliards, ce qui représente un taux de croissance annualisé d’environ 15 %. Cette expansion du capital a directement alimenté une croissance annualisée équivalente de 15 % des bénéfices liés aux frais, démontrant la scalabilité du modèle économique.
Aujourd’hui, la plateforme d’investissement de Brookfield comprend cinq segments majeurs : développement d’infrastructures, production d’énergie renouvelable, private equity, solutions immobilières et marchés de crédit. Au sein de chaque division, la société cible trois mégatendances interconnectées qu’elle considère comme représentant une opportunité de $100 trillion : la numérisation, la déglobalisation et la décarbonation. Cette orientation stratégique positionne la société pour capitaliser sur certains des changements structurels les plus importants qui reshaping l’allocation mondiale du capital.
Le plan ambitieux : de $563 milliard à 1,2 billion de dollars d’ici 2030
Après avoir doublé avec succès son capital porteur de frais entre 2020 et 2025, Brookfield a fixé une étape suivante tout aussi ambitieuse : un autre doublement d’ici 2030, portant le total du capital porteur de frais à environ 1,2 billion de dollars. Compte tenu du bilan d’exécution de la direction, cet objectif mérite une attention sérieuse.
Les implications pour les investisseurs en dividendes sont importantes. Avec une croissance annualisée prévue des bénéfices liés aux frais d’environ 17 % — dépassant la récente augmentation de dividende de 15 % — Brookfield semble bien positionné pour soutenir des cycles successifs d’expansion à deux chiffres des dividendes. Mathématiquement, si la croissance des dividendes continue à 15 % par an, le paiement doublerait environ en cinq ans.
Cela positionne Brookfield Asset Management comme une véritable action de croissance de dividendes avec un attrait pour le revenu actuel. Ce rendement de 3,4 % dépasse largement le modeste rendement de 1,2 % du S&P 500, ce qui le rend particulièrement attractif dans le contexte actuel des taux d’intérêt.
Le facteur de sensibilité au marché
Une considération cruciale pour les investisseurs potentiels : la fortune de Brookfield reste liée à la performance des marchés financiers. Lors des marchés baissiers, l’expansion du capital porteur de frais rencontrera des vents contraires, car la valeur des actifs se contracte et l’appétit des investisseurs pour de nouveaux engagements diminue. À l’inverse, lors des marchés haussiers, la croissance s’accélère et les objectifs ambitieux deviennent plus faciles à atteindre.
En tant que plateforme de gestion d’actifs, le prix de l’action BAM et la performance opérationnelle fluctuent naturellement avec les cycles de marché. Les investisseurs à l’aise avec cette réalité cyclique — et confiants dans la stratégie à long terme de la direction — pourraient trouver ce géant financier canadien un complément de portefeuille intrigant.
La convergence d’un rendement actuel attractif, de catalyseurs visibles de croissance des dividendes, et d’une exposition à des tendances mondiales transformatrices crée une thèse d’investissement multifacette qui dépasse largement les portefeuilles traditionnels axés sur le dividende.