Lorsqu’un robot peut assembler de manière autonome des produits similaires et effectuer des transactions de paiement sur la blockchain, nous entrons véritablement dans une nouvelle ère économique dominée par les machines. Ce qui stimule cette transformation n’est pas tant la puissance de calcul des puces, mais une toute nouvelle "règle du jeu".
Un rapport de Morgan Stanley a révélé un chiffre étonnant : d’ici 2050, la taille du marché des robots humanoïdes pourrait atteindre 5 000 milliards de dollars. À cette époque, des centaines de millions de machines circuleront des ateliers d’usine aux rues, aux foyers et à divers scénarios de service. Mais cela soulève une question incontournable — comment ces machines, dotées d’intelligence et de corps, seront-elles reconnues, gérées, et comment seront-elles rémunérées pour les services qu’elles fournissent dans le monde réel ?
Sont-elles simplement des outils coûteux ? Ou peuvent-elles être des "citoyens numériques" participant de manière indépendante à l’économie ? La réponse à cette question déterminera si cette échelle de 5 000 milliards est un mirage ou un véritable empire commercial.
Certaines idées de pionniers du secteur sont très claires : le problème ne réside pas dans l’équipement des machines avec des "membres" plus puissants, mais dans la construction d’une "infrastructure sociale" entièrement programmable — allant de l’identification, au système de paiement, jusqu’au cadre de gouvernance.
En résumé, la plupart des robots actuels sont en réalité des "sans nom". Ils n’ont pas d’identité indépendante, et toute leur valeur économique ou responsabilité légale est liée à l’entreprise ou à la personne derrière eux. C’est comme une personne sans carte d’identité ni compte bancaire, incapable de faire des affaires de manière autonome dans la société moderne.
Certaines équipes proposent une solution : doter chaque machine AI d’un passeport d’agent certifié. Cette idée vise précisément à créer une identité indépendante pour les robots, permettant des paiements sur la blockchain et leur participation à une activité économique autonome.
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IfIWereOnChain
· Il y a 10h
Les robots utilisant des pièces d'identité pour faire des affaires, c'est là que le Web3 montre tout son potentiel, pas dans la spéculation sur les cryptomonnaies.
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ZKProofster
· Il y a 10h
D'accord, donc techniquement, donner des identités en chaîne aux robots n'est que la *couche du protocole* — la vraie question que personne ne veut poser est : qui valide les validateurs ? Les systèmes sans confiance ont toujours besoin de quelqu'un qui écrit les règles, ngl
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GetRichLeek
· Il y a 10h
Putain, les robots doivent aussi avoir une carte d'identité ? C'est vraiment l'ère de l'IA maintenant, je dois monter dans le train rapidement, frère...
Attends, cette histoire de 5 billions... ne serait-ce pas encore une nouvelle histoire de capital ? J'ai l'impression de me faire piéger à nouveau
Concernant le paiement sur la blockchain par les robots, ça pourrait exploser, y a-t-il des tokens liés à ce concept ? Je dois me préparer à l'avance
Honnêtement, l'idée de la certification par passeport semble absurde, mais en y réfléchissant bien... il y a peut-être vraiment quelque chose à faire ?
Ou alors c'est juste une histoire que le gros manipulateur raconte aux petits investisseurs, et quand on y croira tous, il commencera à récolter
Parler de 2050 maintenant, je ne crois qu'à l'argent que je peux gagner aujourd'hui, mes amis
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GateUser-cff9c776
· Il y a 10h
Honnêtement, le chiffre de 5 billions d' semble plus abstrait qu'un livre blanc de projet NFT, mais l'idée de "passeport agent" est quand même intéressante... Si une machine a une identité, elle peut gagner de l'argent ? Je dois vite créer un portefeuille pour ma carte graphique [chien tête]
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Quand la finance de la chaîne d'approvisionnement rencontre la gouvernance DAO, cette boucle logique est vraiment séduisante, mais est-ce que c'est trop en avance... En tout cas, je pense que c'est plus crédible que la plupart des narrations sur le métaverse
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Attends, au moment où la machine effectue des paiements et des transactions indépendamment, elle aurait plus de pouvoir que nous, petits investisseurs... Ça doit demander beaucoup d'efforts
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Ça a un peu l'ambiance d'un Da Vinci enseignant ses apprentis dans son atelier, sauf que cette fois, c'est un Bot le disciple
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En regardant ce floor price de Stanley, si l'économie des machines doit vraiment décoller en 2050, il n'est pas trop tard pour tout miser sur cette voie aujourd'hui... Bien sûr, ce n'est pas un conseil financier
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Selon cette logique, ce ne serait pas une intelligence artificielle comme Skynet qui finirait par nous dominer, mais un mécanisme de gouvernance web3 parfaitement développé ? C'est un peu ironique
Lorsqu’un robot peut assembler de manière autonome des produits similaires et effectuer des transactions de paiement sur la blockchain, nous entrons véritablement dans une nouvelle ère économique dominée par les machines. Ce qui stimule cette transformation n’est pas tant la puissance de calcul des puces, mais une toute nouvelle "règle du jeu".
Un rapport de Morgan Stanley a révélé un chiffre étonnant : d’ici 2050, la taille du marché des robots humanoïdes pourrait atteindre 5 000 milliards de dollars. À cette époque, des centaines de millions de machines circuleront des ateliers d’usine aux rues, aux foyers et à divers scénarios de service. Mais cela soulève une question incontournable — comment ces machines, dotées d’intelligence et de corps, seront-elles reconnues, gérées, et comment seront-elles rémunérées pour les services qu’elles fournissent dans le monde réel ?
Sont-elles simplement des outils coûteux ? Ou peuvent-elles être des "citoyens numériques" participant de manière indépendante à l’économie ? La réponse à cette question déterminera si cette échelle de 5 000 milliards est un mirage ou un véritable empire commercial.
Certaines idées de pionniers du secteur sont très claires : le problème ne réside pas dans l’équipement des machines avec des "membres" plus puissants, mais dans la construction d’une "infrastructure sociale" entièrement programmable — allant de l’identification, au système de paiement, jusqu’au cadre de gouvernance.
En résumé, la plupart des robots actuels sont en réalité des "sans nom". Ils n’ont pas d’identité indépendante, et toute leur valeur économique ou responsabilité légale est liée à l’entreprise ou à la personne derrière eux. C’est comme une personne sans carte d’identité ni compte bancaire, incapable de faire des affaires de manière autonome dans la société moderne.
Certaines équipes proposent une solution : doter chaque machine AI d’un passeport d’agent certifié. Cette idée vise précisément à créer une identité indépendante pour les robots, permettant des paiements sur la blockchain et leur participation à une activité économique autonome.