Si le conflit russo-ukrainien évolue vers une voie de paix, cela aurait dû être une bonne nouvelle, mais cela pourrait devenir un coup dur pour le prix du pétrole. Les dernières dynamiques du marché montrent que le pétrole brut continue de subir une pression à la baisse. Le 24 novembre, le WTI a chuté à 57,80 dollars/baril (baisse de 0,29 %), et le Brent a encore dégringolé à 61,64 dollars/baril (baisse de 1,41 %), ce qui constitue la quatrième journée consécutive de baisse.
L’accord de paix devient une source de pression sur les prix du pétrole
Le gouvernement Trump pousse activement l’Ukraine à accepter une fin du conflit russo-ukrainien d’ici la fin du mois. Une fois l’accord conclu et les sanctions américaines contre la Russie levées, le pétrole russe réintégrera le marché international, ce qui accentuera directement la surabondance mondiale d’approvisionnement en pétrole. Le marché a déjà intégré cette anticipation, et les facteurs négatifs liés à l’augmentation de l’offre continuent de faire baisser les prix du pétrole.
La tendance à la baisse est claire en 2025, et 2026 s’annonce encore plus préoccupante
Depuis le début de l’année, le WTI et le Brent ont enregistré une baisse cumulée de 19 %, principalement en raison d’une expansion continue de la production mondiale — le plan d’augmentation de la production de l’OPEP+ , la stabilité de l’exportation de pétrole de schiste américain, et le potentiel retour de l’approvisionnement russe, trois forces qui poussent conjointement à la baisse des prix du pétrole.
L’Agence internationale de l’énergie prévoit encore plus d’inquiétudes : en 2026, la production mondiale de pétrole atteindra un record historique. Robert Rennie, directeur de la recherche sur les matières premières à la Westpac Banking Corporation, indique que si la levée des sanctions entraîne un flux suffisant de pétrole russe sur le marché, le prix du Brent sera limité à 65 dollars/baril, avec une possibilité de baisse supplémentaire en 2026.
Goldman Sachs donne des chiffres choquants
Goldman Sachs prévoit qu’en 2026, le marché mondial du pétrole enregistrera un excédent massif de 2 millions de barils par jour, ce qui entraînera une chute significative des prix du pétrole avant le milieu de l’année prochaine. Concrètement, le prix moyen du Brent pourrait tomber à 56 dollars/baril, et celui du WTI à 52 dollars/baril.
D’après la tendance actuelle des prix du pétrole, le marché anticipe déjà les risques d’approvisionnement en 2026, et à court terme, il est peu probable que les prix rebondissent.
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Les puits de pétrole sont sur le point de déborder ! En 2026, le marché mondial du pétrole pourrait être confronté à une situation de surabondance
Si le conflit russo-ukrainien évolue vers une voie de paix, cela aurait dû être une bonne nouvelle, mais cela pourrait devenir un coup dur pour le prix du pétrole. Les dernières dynamiques du marché montrent que le pétrole brut continue de subir une pression à la baisse. Le 24 novembre, le WTI a chuté à 57,80 dollars/baril (baisse de 0,29 %), et le Brent a encore dégringolé à 61,64 dollars/baril (baisse de 1,41 %), ce qui constitue la quatrième journée consécutive de baisse.
L’accord de paix devient une source de pression sur les prix du pétrole
Le gouvernement Trump pousse activement l’Ukraine à accepter une fin du conflit russo-ukrainien d’ici la fin du mois. Une fois l’accord conclu et les sanctions américaines contre la Russie levées, le pétrole russe réintégrera le marché international, ce qui accentuera directement la surabondance mondiale d’approvisionnement en pétrole. Le marché a déjà intégré cette anticipation, et les facteurs négatifs liés à l’augmentation de l’offre continuent de faire baisser les prix du pétrole.
La tendance à la baisse est claire en 2025, et 2026 s’annonce encore plus préoccupante
Depuis le début de l’année, le WTI et le Brent ont enregistré une baisse cumulée de 19 %, principalement en raison d’une expansion continue de la production mondiale — le plan d’augmentation de la production de l’OPEP+ , la stabilité de l’exportation de pétrole de schiste américain, et le potentiel retour de l’approvisionnement russe, trois forces qui poussent conjointement à la baisse des prix du pétrole.
L’Agence internationale de l’énergie prévoit encore plus d’inquiétudes : en 2026, la production mondiale de pétrole atteindra un record historique. Robert Rennie, directeur de la recherche sur les matières premières à la Westpac Banking Corporation, indique que si la levée des sanctions entraîne un flux suffisant de pétrole russe sur le marché, le prix du Brent sera limité à 65 dollars/baril, avec une possibilité de baisse supplémentaire en 2026.
Goldman Sachs donne des chiffres choquants
Goldman Sachs prévoit qu’en 2026, le marché mondial du pétrole enregistrera un excédent massif de 2 millions de barils par jour, ce qui entraînera une chute significative des prix du pétrole avant le milieu de l’année prochaine. Concrètement, le prix moyen du Brent pourrait tomber à 56 dollars/baril, et celui du WTI à 52 dollars/baril.
D’après la tendance actuelle des prix du pétrole, le marché anticipe déjà les risques d’approvisionnement en 2026, et à court terme, il est peu probable que les prix rebondissent.