Actuellement, il existe principalement trois méthodes pour la market-making de contrefaçon :
1. Le type "sauvage" basé sur des ordres de grande ampleur et la création de tendances : il s'appuie sur le volume pour impulser le rythme, réduit ses fonds propres, et utilise plusieurs comptes pour "porter le palanquin" et faire monter le prix. La stratégie consiste à manipuler (ou faire chuter) le marché au comptant ou les contrats pour piéger les ordres adverses, avec un volume modéré, en profitant des périodes de faible liquidité. Principalement actif dans les marchés secondaires, il privilégie le très court terme, et craint surtout que des transactions de type "souricière" ne s’enfuient à l’avance. 2. Contrôle élevé + capture de la rémunération de fonds / prime sur le marché au comptant : le "type à gros capital" ne dépend pas du volume du marché, il attire la liquidité naturellement grâce aux taux de financement ou à la différence de prix entre le spot et le contrat. Il faut contrôler plus de 95% des parts, et disposer d’au moins 10 millions de dollars pour commencer à jouer. Stratégies courantes : contrôler d’abord la plateforme, puis faire monter (ou descendre) le prix pour attirer les ordres adverses. Le marché au comptant se vide lentement par des transactions naturelles. Au début, il y a un lavage pour réduire les coûts. Ce type n’a pas trop peur du "souricière", mais cette dernière peut partager une partie du profit. 2.5. Une variante du 2 qui consiste à "profiter des taux" : Contrôle d’au moins 90%, avec un lavage initial sous contrôle, puis manipulation du rythme du taux : faire baisser le taux quand il est positif, le faire monter quand il est négatif. Mais la rémunération liée aux taux est très dépendante des ordres adverses : si personne ne répond sur le marché, le taux n’est qu’un "loyer", et le vrai profit vient principalement du sens donné au marché au comptant et de la profondeur des contrats. Ce type n’a pas du tout peur du "souricière", voire il aime utiliser cette technique pour faire monter le prix. 3. Contrôle brutal du marché : souvent utilisé dans les nouveaux projets avec un volume d’airdrop élevé. Méthode directe et violente, en injectant massivement des fonds pour manipuler la profondeur du marché, sans explication. Certains projets prévoient plus de 100M+ de fonds de market-making ; dans ces conditions, il est quasi impossible pour une "souricière" d’avoir un impact durable.
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Actuellement, il existe principalement trois méthodes pour la market-making de contrefaçon :
1. Le type "sauvage" basé sur des ordres de grande ampleur et la création de tendances : il s'appuie sur le volume pour impulser le rythme, réduit ses fonds propres, et utilise plusieurs comptes pour "porter le palanquin" et faire monter le prix.
La stratégie consiste à manipuler (ou faire chuter) le marché au comptant ou les contrats pour piéger les ordres adverses, avec un volume modéré, en profitant des périodes de faible liquidité.
Principalement actif dans les marchés secondaires, il privilégie le très court terme, et craint surtout que des transactions de type "souricière" ne s’enfuient à l’avance.
2. Contrôle élevé + capture de la rémunération de fonds / prime sur le marché au comptant : le "type à gros capital" ne dépend pas du volume du marché, il attire la liquidité naturellement grâce aux taux de financement ou à la différence de prix entre le spot et le contrat.
Il faut contrôler plus de 95% des parts, et disposer d’au moins 10 millions de dollars pour commencer à jouer.
Stratégies courantes : contrôler d’abord la plateforme, puis faire monter (ou descendre) le prix pour attirer les ordres adverses. Le marché au comptant se vide lentement par des transactions naturelles. Au début, il y a un lavage pour réduire les coûts.
Ce type n’a pas trop peur du "souricière", mais cette dernière peut partager une partie du profit.
2.5. Une variante du 2 qui consiste à "profiter des taux" :
Contrôle d’au moins 90%, avec un lavage initial sous contrôle, puis manipulation du rythme du taux : faire baisser le taux quand il est positif, le faire monter quand il est négatif.
Mais la rémunération liée aux taux est très dépendante des ordres adverses : si personne ne répond sur le marché, le taux n’est qu’un "loyer", et le vrai profit vient principalement du sens donné au marché au comptant et de la profondeur des contrats.
Ce type n’a pas du tout peur du "souricière", voire il aime utiliser cette technique pour faire monter le prix.
3. Contrôle brutal du marché :
souvent utilisé dans les nouveaux projets avec un volume d’airdrop élevé.
Méthode directe et violente, en injectant massivement des fonds pour manipuler la profondeur du marché, sans explication.
Certains projets prévoient plus de 100M+ de fonds de market-making ; dans ces conditions, il est quasi impossible pour une "souricière" d’avoir un impact durable.