Le poids de cette nouvelle pourrait dépasser les attentes de beaucoup de gens.

L’essentiel n’est pas que BlackRock ait à nouveau publié des commentaires positifs, mais que ce géant gérant 10 000 milliards de dollars d’actifs a, pour la première fois, ouvertement exposé une logique tacitement admise par le marché :

La détérioration continue de la crise de la dette américaine devient une force motrice structurelle de l’essor des actifs cryptographiques.

Cette analyse ne provient pas d’un rapport auto-satisfait d’un fonds crypto, mais du rapport officiel de BlackRock, la plus grande société de gestion d’actifs au monde. Lorsqu’une institution de cette envergure émet un jugement directionnel, le marché ne doit pas y voir une fluctuation à court terme, mais un signal de tendance à long terme.

**Pourquoi BlackRock a-t-il soudainement adopté une vision optimiste ? Parce que l’ampleur même de la dette est devenue une sorte de "catalyseur forcé" positif**

Un chiffre du rapport mérite d’être médité à plusieurs reprises :

La dette fédérale américaine s’apprête à dépasser 38 000 milliards de dollars.

À quoi cela correspond-il ? Cela représente environ 40 fois la capitalisation totale actuelle du marché des cryptomonnaies.

Une dette de cette ampleur provoque une série de réactions en chaîne :

- Volatilité accrue des rendements des bons du Trésor
- L’attribut de "refuge absolu" de la dette américaine commence à vaciller
- Les risques systémiques s’accumulent à un rythme plus rapide
- L’efficacité des outils monétaires traditionnels de la Fed est affaiblie
- La confiance du marché mondial dans le statut du dollar comme monnaie de réserve se fissure

La convergence de ces facteurs entraîne une conséquence historique :

L’efficacité des actifs refuge traditionnels est en déclin.

Et la perte de contrôle de la dette devient, paradoxalement, un accélérateur de l’adoption des actifs cryptographiques.

**Comment la crise de la dette stimule-t-elle la vigueur du marché crypto ?**

La logique de BlackRock est très claire :

Les capitaux institutionnels vont accélérer leur recherche de solutions alternatives dans les actifs numériques.

La raison en est que les outils de couverture traditionnels commencent déjà à montrer leurs limites :

La volatilité de l’or est en augmentation