Il y a eu récemment un petit changement discret concernant l’autorisation des paiements. Avant, chaque fois qu’un bot voulait effectuer un transfert pour vous, une fenêtre surgissait pour demander « c’est bon, c’est bon ? ». Et maintenant ? On lui fixe directement une limite : dans ce cadre, tu gères, mais chaque transaction doit laisser une trace.

C’est exactement ce que fait KITE. Ce n’est pas une expérience radicale, c’est plutôt comme installer un « système de plomberie » pour les transactions on-chain : rendre les paiements automatisés courants, laisser les robots dépenser ce qu’il faut, et tout consigner sur la blockchain. Plus besoin de surveiller les fenêtres d’autorisation chaque jour, ni de craindre de se réveiller un matin avec un portefeuille vidé.

En clair, on passe de « demander ton accord à chaque fois » à « établir les règles à l’avance ». Ça paraît simple ? Mais c’est peut-être justement le petit rien qui permettra enfin aux paiements Web3 de devenir réellement utilisables.