Je viens de voir une info explosive : le Congrès américain a officiellement reçu une proposition de loi intitulée « Bitcoin Act » (Loi sur la Réserve Stratégique de Bitcoin), et son contenu est vraiment costaud.

Voici les principaux points du projet :

• Le gouvernement fédéral doit établir une « réserve stratégique nationale de bitcoins »
• Les particuliers et les entreprises pourront payer directement leurs impôts en BTC (sans devoir d’abord les convertir en dollars)
• La part des impôts payée en bitcoin sera totalement exonérée d’impôt sur les plus-values
• Détenir une réserve officielle de bitcoins donnera droit à des allégements fiscaux supplémentaires

Ça semble un peu fou, non ? Là, on fait passer le bitcoin du statut de « or numérique » à celui de quasi-monnaie nationale. Imagine : même pour payer ses impôts, il sera accepté — c’est un privilège supérieur à beaucoup de monnaies fiduciaires.

La différence saute aux yeux : au Japon, les gains sur le trading de crypto sont taxés à 20 % comme revenu, et il faut convertir les montants en yens lors de la déclaration, un processus fastidieux. Si ce dispositif américain voit le jour, cela ouvrira une véritable autoroute fiscale au bitcoin.

Si la loi passe, les États-Unis deviendront la première superpuissance économique à intégrer officiellement le bitcoin dans leur système fiscal national. Les gens de Wall Street doivent déjà être en train de faire leurs calculs : le BTC ne serait plus seulement un actif d’investissement, mais aussi un outil de gestion d’actifs et d’optimisation fiscale pour les entreprises.

En 2026, les contribuables américains pourraient vraiment sortir leur wallet pour payer leurs impôts en satoshis. Il y a cinq ans, on aurait ri de cette idée. Aujourd’hui ? Cela pourrait vraiment devenir réalité.

Le récit autour des cryptomonnaies vient encore de franchir un cap.