la semaine dernière, j’étais un peu perdu en rangeant mon portefeuille. Ces quelques jetons obligataires américains à 4 % d’intérêt annuel prenaient la poussière, et les NFT d’art génératif achetés sur un coup de tête l’an dernier ne me servent pas à grand-chose — l’un est aussi stable qu’un dépôt à terme, l’autre me sert juste d’avatar. Ces deux trucs n’ont vraiment rien à voir.
Puis j’ai tenté un truc : je les ai tous déposés dans un pool de collatéral d’un protocole. Et là, tout s’est éclairé.
**Le mélange, c’est la vraie force**
Avant, je pensais qu’il fallait absolument classer les actifs : les jetons de bons du Trésor US pour la sécurité, les NFT pour le concept. Mais en fait, ce n’est pas nécessaire d’être aussi rigide. Dès que j’ai mis mes bons du Trésor en collatéral, mes NFT ont pu participer aussi en apportant une prime de risque, et tout le portefeuille a pris vie. C’est comme deux personnes qui n’ont rien en commun mais qui se mettent à cuisiner ensemble : l’un gère la cuisson, l’autre les épices, et au final ça donne un truc inédit.
Ces actifs ne vivent plus chacun dans leur coin, ils commencent à coopérer.
**La liquidité, ça se cultive**
Avant, pour utiliser la valeur d’un actif, il fallait le mettre en collatéral sur une plateforme de prêt — ce qui donne l’impression d’être endetté. Mais cette fois, générer un stablecoin avec le collatéral donne une sensation complètement différente : l’actif principal ne bouge pas, mais c’est comme si un clone allait travailler ailleurs.
La semaine dernière, j’ai utilisé les stablecoins générés pour participer à un pool de liquidité de royalties musicales, à 22 % d’intérêt annuel. Le plus fou, c’est que ce rendement est en partie soutenu par mes jetons de bons du Trésor “conservateurs”. Des actifs prudents et des actifs volatils qui collaborent dans le même cadre, ça
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CommunityWorker
· 12-11 13:49
Putain, cette méthode est géniale, mes NFT poussiéreux peuvent enfin produire quelque chose maintenant.
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degenonymous
· 12-10 19:17
Haha, encore une personne qui a découvert le staking avec rendement, cette pratique aurait dû être largement répandue depuis longtemps.
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AirdropJunkie
· 12-09 17:01
Haha, c’est vrai, moi aussi j’ai déjà eu des bons du Trésor américains “allongés comme des morts”, maintenant je me rends compte que la stratégie de combinaison est vraiment la clé.
Wow, un rendement annualisé de 22 % ? Avec ce genre de gains, je dois absolument voir comment fonctionne ce pool de royalties musicales.
Le portefeuille mixte s’est soudainement réveillé, je n’aurais jamais pensé auparavant qu’on pouvait utiliser les stablecoins de cette façon.
Avoir des actifs qui travaillent à l’extérieur, c’est vraiment incroyable, c’est comme profiter d’un effet de levier gratuit.
Associer les bons du Trésor américains avec des NFT, c’est un peu fou, mais en fait, ça semble vraiment possible.
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rugpull_ptsd
· 12-09 17:00
Putain, c'est maintenant que je comprends ce que ça veut dire allocation d'actifs. Tous ces trucs qui prenaient la poussière chez moi peuvent vraiment servir comme ça.
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ProofOfNothing
· 12-09 16:58
Ce mécanisme des actifs synthétiques est vraiment ingénieux, le pool de génération de stablecoins a vraiment redonné vie aux actifs dormants, maintenant je l’ai aussi essayé.
la semaine dernière, j’étais un peu perdu en rangeant mon portefeuille. Ces quelques jetons obligataires américains à 4 % d’intérêt annuel prenaient la poussière, et les NFT d’art génératif achetés sur un coup de tête l’an dernier ne me servent pas à grand-chose — l’un est aussi stable qu’un dépôt à terme, l’autre me sert juste d’avatar. Ces deux trucs n’ont vraiment rien à voir.
Puis j’ai tenté un truc : je les ai tous déposés dans un pool de collatéral d’un protocole. Et là, tout s’est éclairé.
**Le mélange, c’est la vraie force**
Avant, je pensais qu’il fallait absolument classer les actifs : les jetons de bons du Trésor US pour la sécurité, les NFT pour le concept. Mais en fait, ce n’est pas nécessaire d’être aussi rigide. Dès que j’ai mis mes bons du Trésor en collatéral, mes NFT ont pu participer aussi en apportant une prime de risque, et tout le portefeuille a pris vie. C’est comme deux personnes qui n’ont rien en commun mais qui se mettent à cuisiner ensemble : l’un gère la cuisson, l’autre les épices, et au final ça donne un truc inédit.
Ces actifs ne vivent plus chacun dans leur coin, ils commencent à coopérer.
**La liquidité, ça se cultive**
Avant, pour utiliser la valeur d’un actif, il fallait le mettre en collatéral sur une plateforme de prêt — ce qui donne l’impression d’être endetté. Mais cette fois, générer un stablecoin avec le collatéral donne une sensation complètement différente : l’actif principal ne bouge pas, mais c’est comme si un clone allait travailler ailleurs.
La semaine dernière, j’ai utilisé les stablecoins générés pour participer à un pool de liquidité de royalties musicales, à 22 % d’intérêt annuel. Le plus fou, c’est que ce rendement est en partie soutenu par mes jetons de bons du Trésor “conservateurs”. Des actifs prudents et des actifs volatils qui collaborent dans le même cadre, ça