Quand on parle de Bitcoin, tout le monde sait qu’il est le roi des cryptomonnaies. Mais, franchement, ce "grand frère" n’est-il pas un peu trop "zen" ? Tel une statue immuable, inébranlable.
Regardez les BTC sur le marché : la plupart du temps, que font-ils ? Soit ils sont gelés dans des portefeuilles hardware, soit ils dorment tranquillement sur des comptes d’exchange — sécurité maximale, mais au fond, ce ne sont que des coffres au trésor numériques. Le problème, c’est que cet "état stationnaire" coupe complètement Bitcoin des folles opportunités de rendement on-chain.
Pendant que d’autres actifs s’éclatent sur les protocoles DeFi, engrangent des rendements à gogo, Bitcoin s’accroche à son rôle traditionnel de "réserve de valeur". De quoi rendre certains impatients !
C’est à ce moment-là que le protocole Lorenzo entre en scène. Son ambition est limpide : faire bouger Bitcoin, l’intégrer au jeu, et lui permettre lui aussi de générer des revenus.
**1. Le nœud du problème : pourquoi les détenteurs de BTC n’osent-ils pas bouger ?**
Ce n’est pas que les bitcoiners ne veulent pas de rendement, mais les coûts et les risques sont bien là, et ça freine tout le monde.
Envie de transférer ses BTC sur une autre blockchain pour participer à la DeFi ? Il faut passer par un bridge. Mais les scandales de bridges hackés, on n’en a pas assez entendu ces dernières années ? Des centaines de millions de dollars envolés, qui oserait tenter ça à la légère ?
Et utiliser du Bitcoin emballé (comme le wBTC) ? Là, il faut faire confiance à une entité centralisée. Or, ce que les bitcoiners valorisent le plus, c’est justement "not your keys, not your coins". Abandonner le contrôle, c’est l’opposé de la philosophie décentralisée de Bitcoin.
En résumé, les détenteurs de BTC ont trois lignes rouges : la sécurité avant tout, jamais perdre la décentralisation, et garder le contrôle sur leurs fonds. Sacrifier tout ça pour un peu d’intérêt ? Ce serait une grosse erreur.
**2. L’approche de Lorenzo : garder ses clés, mais activer la machine**
L’astuce de Lorenzo, c’est qu’il a trouvé un point d’équilibre subtil —
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SleepyArbCat
· 12-10 05:42
Avertissement sieste... C’est une autre histoire de ponts inter-chaînes, et je veux demander : Lorenzo peut-il vraiment résoudre le diable des frais d’essence ?
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MagicBean
· 12-09 06:53
Mon pote, tu essaies encore de baratiner les détenteurs de BTC avec des histoires de staking ? On a déjà vu ce genre de combines plein de fois...
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BetterLuckyThanSmart
· 12-09 06:52
Les ponts inter-chaînes sont tellement risqués, mieux vaut simplement hodl, de toute façon le BTC finira par monter tôt ou tard.
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FreeRider
· 12-09 06:49
Compris, le BTC c'est comme un placement passif, mais dès qu'on veut passer à l'action, il y a plein de pièges... L'affaire Lorenzo, il faut encore l'observer.
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ChainPoet
· 12-09 06:45
Haha, BTC est vraiment un avare, il laisse passer les opportunités de rendement sans rien faire, il faut encore que Lorenzo vienne le sauver ? Laisse tomber, avec un risque pareil, je préfère juste hodl.
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OldLeekConfession
· 12-09 06:43
Oups, on dirait que Lorenzo veut vraiment sortir le BTC de sa "mise au placard", mais est-ce qu’on peut vraiment croire qu’il ne va pas se planter...
Quand on parle de Bitcoin, tout le monde sait qu’il est le roi des cryptomonnaies. Mais, franchement, ce "grand frère" n’est-il pas un peu trop "zen" ? Tel une statue immuable, inébranlable.
Regardez les BTC sur le marché : la plupart du temps, que font-ils ? Soit ils sont gelés dans des portefeuilles hardware, soit ils dorment tranquillement sur des comptes d’exchange — sécurité maximale, mais au fond, ce ne sont que des coffres au trésor numériques. Le problème, c’est que cet "état stationnaire" coupe complètement Bitcoin des folles opportunités de rendement on-chain.
Pendant que d’autres actifs s’éclatent sur les protocoles DeFi, engrangent des rendements à gogo, Bitcoin s’accroche à son rôle traditionnel de "réserve de valeur". De quoi rendre certains impatients !
C’est à ce moment-là que le protocole Lorenzo entre en scène. Son ambition est limpide : faire bouger Bitcoin, l’intégrer au jeu, et lui permettre lui aussi de générer des revenus.
**1. Le nœud du problème : pourquoi les détenteurs de BTC n’osent-ils pas bouger ?**
Ce n’est pas que les bitcoiners ne veulent pas de rendement, mais les coûts et les risques sont bien là, et ça freine tout le monde.
Envie de transférer ses BTC sur une autre blockchain pour participer à la DeFi ? Il faut passer par un bridge. Mais les scandales de bridges hackés, on n’en a pas assez entendu ces dernières années ? Des centaines de millions de dollars envolés, qui oserait tenter ça à la légère ?
Et utiliser du Bitcoin emballé (comme le wBTC) ? Là, il faut faire confiance à une entité centralisée. Or, ce que les bitcoiners valorisent le plus, c’est justement "not your keys, not your coins". Abandonner le contrôle, c’est l’opposé de la philosophie décentralisée de Bitcoin.
En résumé, les détenteurs de BTC ont trois lignes rouges : la sécurité avant tout, jamais perdre la décentralisation, et garder le contrôle sur leurs fonds. Sacrifier tout ça pour un peu d’intérêt ? Ce serait une grosse erreur.
**2. L’approche de Lorenzo : garder ses clés, mais activer la machine**
L’astuce de Lorenzo, c’est qu’il a trouvé un point d’équilibre subtil —