Comment Nexus vérifie-t-il l’automatisation ?

Talus est en train d’automatiser et de réécrire en profondeur un grand marché déjà validé dans le Web2. Zapier et n8n ont prouvé que la demande est immense, mais ce sont tous deux des boîtes noires. Par exemple, les workflows, les données et les permissions sont entièrement enfermés sur des serveurs centralisés ; en cas de problème, il est impossible d’auditer ou de confier des logiques à forte valeur.

Nexus porte tout cela on-chain, rendant chaque étape vérifiable. Outils, workflows et appels IA sont tous standardisés comme ressources on-chain, avec des historiques d’exécution publics et transparents. Les développeurs peuvent gagner des $US en exposant leurs outils, les agents peuvent s’exécuter, s’autofinancer et collaborer eux-mêmes : pour la première fois, l’automatisation devient une économie ouverte, et non plus une entreprise SaaS fermée.

.$US est la couche de coordination du système : toutes les exécutions, l’ordonnancement, la priorité et les mécanismes de sécurité y sont finalement réglés. La demande provient d’utilisations réelles, non d’incitations inflationnistes.

Le cœur de l’innovation de Talus, c’est que l’automatisation n’est plus un simple script, mais un système d’agents auditable, collaboratif et réglable. Web2 a créé des entreprises d’automatisation, Talus construit un réseau d’automatisation !

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