Web3 contre Web2 : Qu'est-ce qui a vraiment changé ?

Dessinez une ligne dans le sable d'Internet. D'un côté : Google, Facebook, Amazon contrôlant tout. De l'autre : Web3, où vous êtes propriétaire de vos données. Cela semble de la science-fiction, mais c'est le présent qui arrive.

La différence clé : À qui appartiennent vos données ?

Dans le Web2, vous êtes le produit. Les entreprises vendent vos informations à des publicitaires, analysent ce que vous faites, où vous cliquez, ce que vous achetez. Vous n'avez pas votre mot à dire sur la façon dont cela est utilisé.

Dans Web3, tu as les clés. Tes informations, ton contrôle. Les transactions se déroulent sur blockchain—un registre public que personne ne peut manipuler. Sans intermédiaires, sans banques prenant leur commission.

Les contrats intelligents : le changement de jeu

Imaginez un contrat qui s'exécute tout seul, sans avoir besoin d'avocats ni de notaires. L'acheteur et le vendeur conviennent des termes, ils sont écrits en code, et lorsque les conditions sont remplies, la transaction est automatiquement finalisée.

C'est Web3. Plus rapide, moins cher, plus sûr.

Quatre raisons pour lesquelles Web3 est différent

Décentralisation : Sans un centre de contrôle, il est presque impossible de censurer ou de pirater.

Transparence : Toutes les transactions sont enregistrées publiquement. Au revoir la fraude.

Sécurité : La blockchain rend pratiquement impossible la modification des données.

Confidentialité : Vous contrôlez qui voit quoi. Les entreprises ne peuvent pas vendre vos informations sans votre permission.

Où Web3 va exploser

Finances : Transactions peer-to-peer sans banques. Commissions au plancher, argent plus rapide.

Jeux: Vous possédez vraiment les actifs du jeu. Ce n'est pas juste un pixel sur le serveur de l'entreprise—c'est le vôtre.

Réseaux sociaux: Créez du contenu, soyez payé directement. Démocratisez tout, sans que Meta ou Twitter ne prenne 90%.

Web3 est encore en phase de développement, mais il a tout pour changer notre façon de vivre Internet. La question n'est pas de savoir si cela va se produire, mais quand.