Le ministre des Finances du Luxembourg vient de faire une Goutte à un forum politique récent. Il a exprimé ouvertement une forte confiance que d'autres nations vont suivre l'exemple du Bitcoin.
Qu'est-ce qui a vraiment attiré l'attention de tout le monde ? Il a cité la célèbre phrase de Michael Saylor : "Il n'y a pas de deuxième meilleur." C'est une déclaration assez audacieuse venant d'un fonctionnaire. Cela signale qu'ils ne font pas que tremper leurs orteils dans l'eau - ils sont entièrement engagés.
Ce n'est pas seulement une petite nation européenne qui agit. Lorsque le ministre des Finances soutient publiquement Bitcoin et prédit un effet domino dans d'autres pays, cela mérite d'être pris en compte. Le récit de l'adoption institutionnelle vient de recevoir un coup de fouet sérieux d'un coin inattendu.
Le message est clair : les nations souveraines commencent à considérer le Bitcoin non pas comme un actif spéculatif, mais comme une réserve stratégique. Et si la conviction du Luxembourg est un quelconque indice, nous pourrions entrer dans une nouvelle phase où les pays rivalisent pour sécuriser leurs positions avant qu'il ne soit trop tard.
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
14 J'aime
Récompense
14
4
Reposter
Partager
Commentaire
0/400
FundingMartyr
· 11-27 11:56
Les récentes actions du Luxembourg sont vraiment fortes, les politiciens soutiennent directement le Bitcoin et citent Saylor, cela signifie que quelque chose arrive vraiment.
Les États souverains considèrent maintenant le BTC comme une réserve stratégique plutôt que comme un actif spéculatif, c'est assez intéressant.
Cependant, j'ai peur que ce ne soit encore que des paroles officielles, il faut attendre de voir les actions concrètes qui suivront.
Si cela crée un effet d'exemple, il n'y aura vraiment pas beaucoup de temps pour se battre pour la fenêtre d'opportunité.
Voir l'originalRépondre0
FlashLoanPhantom
· 11-27 11:55
Ouais, les fonctionnaires du gouvernement commencent à jouer à ce piège de Saylor ? Il n'y a pas d'autre choix... Qu'est-ce que ça signifie ?
Voir l'originalRépondre0
DAOplomacy
· 11-27 11:44
à vrai dire, le cadre du "effet domino" ici fait probablement un travail considérable que la théorie des jeux ne soutient pas tout à fait... la dépendance au chemin va dans les deux sens, je ne vais pas mentir. le Luxembourg qui fait du bruit ≠ inévitabilité structurelle pour tous les souverains. des externalités non triviales restent encore non résolues sur la question de l'actif de réserve. l'alignement des parties prenantes reste... appelons-le "sub-optimal."
Voir l'originalRépondre0
SandwichTrader
· 11-27 11:41
Oh putain, ça y est, c'est vraiment arrivé, une reconnaissance au niveau national !
Le ministre des Finances du Luxembourg vient de faire une Goutte à un forum politique récent. Il a exprimé ouvertement une forte confiance que d'autres nations vont suivre l'exemple du Bitcoin.
Qu'est-ce qui a vraiment attiré l'attention de tout le monde ? Il a cité la célèbre phrase de Michael Saylor : "Il n'y a pas de deuxième meilleur." C'est une déclaration assez audacieuse venant d'un fonctionnaire. Cela signale qu'ils ne font pas que tremper leurs orteils dans l'eau - ils sont entièrement engagés.
Ce n'est pas seulement une petite nation européenne qui agit. Lorsque le ministre des Finances soutient publiquement Bitcoin et prédit un effet domino dans d'autres pays, cela mérite d'être pris en compte. Le récit de l'adoption institutionnelle vient de recevoir un coup de fouet sérieux d'un coin inattendu.
Le message est clair : les nations souveraines commencent à considérer le Bitcoin non pas comme un actif spéculatif, mais comme une réserve stratégique. Et si la conviction du Luxembourg est un quelconque indice, nous pourrions entrer dans une nouvelle phase où les pays rivalisent pour sécuriser leurs positions avant qu'il ne soit trop tard.