Le Japon envisage de légiférer pour interdire le délit d'initié sur les cryptoactifs et d'établir un cadre de régulation complet d'ici 2026.
L'autorité de régulation financière japonaise pousse une nouvelle réglementation visant à interdire le délit d'initié dans le domaine des cryptoactifs.
L'Agence des services financiers du Japon (FSA) prévoit de finaliser les révisions législatives pertinentes d'ici 2026 au plus tard, une démarche considérée comme une première pour les pays asiatiques dans le domaine des Cryptoactifs.
Selon des médias tels que le Japan Economic News, la Commission des services financiers du Japon (SESC) prévoit de reclasser certains cryptoactifs comme des objets de régulation sous la Loi sur les instruments financiers et les échanges, afin qu'ils soient soumis aux mêmes règles de délit d'initié que les produits financiers traditionnels tels que les actions et les obligations.
À la fin de mai de cette année, le nombre d'utilisateurs de cryptoactifs au Japon a atteint environ 12,4 millions, soit environ 1,0 % de la population japonaise. Cependant, la législation actuelle sur les services de paiement présente des lacunes évidentes en matière de prévention du délit d'initié, ce qui constitue un motif important de cette réforme.
Selon ce cadre, la Commission des services financiers du Japon (SESC) sera autorisée à imposer des amendes pour les actes de chiffrement effectués en utilisant des informations non publiques et à transmettre les affaires criminelles présumées aux autorités judiciaires.
Si la réforme est adoptée, la SESC obtiendra le pouvoir légal d'enquêter sur les transactions de chiffrement suspectes, d'imposer des amendes et d'engager des poursuites pénales. De plus, les autorités de régulation pourront également suivre et responsabiliser les modèles de transactions de bénéfices anormaux en se référant aux modèles de régulation des transactions de titres traditionnels.
Cependant, les nouvelles réglementations font encore face à de nombreux défis. Par exemple, l'identité des émetteurs de jetons n'est pas claire, ce qui rend difficile de déterminer s'ils sont des "initiés" pour les autorités de régulation ; et bien que les enregistrements sur la blockchain soient publics et vérifiables, l'association des adresses de transaction avec les véritables détenteurs nécessite encore des méthodes d'enquête traditionnelles.
De plus, les autorités de régulation doivent clarifier les critères de détermination des "informations importantes" et les méthodes de calcul des gains illégaux. Ces défis sont précisément les problèmes principaux que l'Autorité des services financiers du Japon doit résoudre en priorité lors de l'élaboration des règlements ultérieurs.
En résumé, la promotion par le Japon de la législation sur le délit d'initié dans les cryptoactifs marque un pas vers des normes de réglementation des actifs numériques aussi strictes que celles des marchés financiers traditionnels. L'objectif est d'établir un environnement de marché plus équitable et transparent en interdisant le délit d'initié et en renforçant la réglementation, afin de favoriser le développement durable de l'industrie des cryptoactifs dans le pays.
#日本加密货币监管 # interdit de délit d'initié
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Le Japon envisage de légiférer pour interdire le délit d'initié sur les cryptoactifs et d'établir un cadre de régulation complet d'ici 2026.
L'autorité de régulation financière japonaise pousse une nouvelle réglementation visant à interdire le délit d'initié dans le domaine des cryptoactifs.
L'Agence des services financiers du Japon (FSA) prévoit de finaliser les révisions législatives pertinentes d'ici 2026 au plus tard, une démarche considérée comme une première pour les pays asiatiques dans le domaine des Cryptoactifs.
Selon des médias tels que le Japan Economic News, la Commission des services financiers du Japon (SESC) prévoit de reclasser certains cryptoactifs comme des objets de régulation sous la Loi sur les instruments financiers et les échanges, afin qu'ils soient soumis aux mêmes règles de délit d'initié que les produits financiers traditionnels tels que les actions et les obligations.
À la fin de mai de cette année, le nombre d'utilisateurs de cryptoactifs au Japon a atteint environ 12,4 millions, soit environ 1,0 % de la population japonaise. Cependant, la législation actuelle sur les services de paiement présente des lacunes évidentes en matière de prévention du délit d'initié, ce qui constitue un motif important de cette réforme.
Selon ce cadre, la Commission des services financiers du Japon (SESC) sera autorisée à imposer des amendes pour les actes de chiffrement effectués en utilisant des informations non publiques et à transmettre les affaires criminelles présumées aux autorités judiciaires.
Si la réforme est adoptée, la SESC obtiendra le pouvoir légal d'enquêter sur les transactions de chiffrement suspectes, d'imposer des amendes et d'engager des poursuites pénales. De plus, les autorités de régulation pourront également suivre et responsabiliser les modèles de transactions de bénéfices anormaux en se référant aux modèles de régulation des transactions de titres traditionnels.
Cependant, les nouvelles réglementations font encore face à de nombreux défis. Par exemple, l'identité des émetteurs de jetons n'est pas claire, ce qui rend difficile de déterminer s'ils sont des "initiés" pour les autorités de régulation ; et bien que les enregistrements sur la blockchain soient publics et vérifiables, l'association des adresses de transaction avec les véritables détenteurs nécessite encore des méthodes d'enquête traditionnelles.
De plus, les autorités de régulation doivent clarifier les critères de détermination des "informations importantes" et les méthodes de calcul des gains illégaux. Ces défis sont précisément les problèmes principaux que l'Autorité des services financiers du Japon doit résoudre en priorité lors de l'élaboration des règlements ultérieurs.
En résumé, la promotion par le Japon de la législation sur le délit d'initié dans les cryptoactifs marque un pas vers des normes de réglementation des actifs numériques aussi strictes que celles des marchés financiers traditionnels. L'objectif est d'établir un environnement de marché plus équitable et transparent en interdisant le délit d'initié et en renforçant la réglementation, afin de favoriser le développement durable de l'industrie des cryptoactifs dans le pays.
#日本加密货币监管 # interdit de délit d'initié