Le monde des cryptos a créé ses propres légendes. Des millionnaires surgis de nulle part, sans diplôme, sans statut. Parmi eux, Erik Finman me fascine particulièrement. Pas le plus riche, loin de là, mais son histoire? Putain, quel culot!
Imaginez: 2011, j'ai 12 ans. Ma grand-mère me file 1245 dollars. Au lieu d'acheter des conneries comme n'importe quel gosse, je claque tout dans cette monnaie bizarre dont personne ne parle: Bitcoin à 12$ pièce. J'en achète 103. Voilà comment démarre l'aventure de ma vie.
L'école? Une perte de temps! Mes profs me répétaient que je finirais serveur dans un fast-food. À 15 ans, j'ai négocié avec mes parents: "Je quitte l'école. Si je ne suis pas millionnaire à 18 ans, j'y retourne." Ils ont accepté! Quelle folie!
Fin 2013, j'ai vendu mes bitcoins à 1200$ chacun. 120 000$ en poche à 15 piges! J'ai créé Botangle, une plateforme éducative en ligne. J'ai déménagé dans la Silicon Valley. Vous imaginez la tête des investisseurs face à un ado de 15 ans? Un jour, un cadre d'Uber m'a ri au nez. "Ton pari d'un million? Tu vas le perdre, gamin."
En 2015, j'ai vendu ma technologie. Le choix était simple: 100 000$ cash ou 300 bitcoins à 200$ pièce. J'ai pris les bitcoins, évidemment! Les gens me traitaient de fou.
2017, mes 18 ans: 403 bitcoins + des altcoins. Bitcoin à 2700$. Total: plus d'un million. Pari gagné! J'avais prédit Bitcoin à 100 000$ dans les dix ans... pas si loin du compte, non?
Aujourd'hui, à 25 ans, je garde mes actifs discrets. Je me présente juste comme "le plus jeune millionnaire Bitcoin". Pas mal pour un gamin qui devait finir chez McDo, hein?
Mon secret? Pas de chance, que des couilles! Quand tout le monde rigolait du Bitcoin, j'ai foncé. Quand on me disait de rester à l'école, j'ai tracé ma route.
Vous savez quoi? Cette société veut nous formater: "Sois raisonnable, prends pas de risques." Moi je dis merde à ça. Aujourd'hui, c'est plus Bitcoin qui me fait vivre, mais cette mentalité de prendre des risques calculés.
Ce marché crypto est brutal, impitoyable même. Mais putain, quand on a le cran de tenir bon pendant les tempêtes, la récompense est là. À bon entendeur...
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Le petit génie du Bitcoin : J'ai parié ma vie à 12 ans et j'ai gagné
Le monde des cryptos a créé ses propres légendes. Des millionnaires surgis de nulle part, sans diplôme, sans statut. Parmi eux, Erik Finman me fascine particulièrement. Pas le plus riche, loin de là, mais son histoire? Putain, quel culot!
Imaginez: 2011, j'ai 12 ans. Ma grand-mère me file 1245 dollars. Au lieu d'acheter des conneries comme n'importe quel gosse, je claque tout dans cette monnaie bizarre dont personne ne parle: Bitcoin à 12$ pièce. J'en achète 103. Voilà comment démarre l'aventure de ma vie.
L'école? Une perte de temps! Mes profs me répétaient que je finirais serveur dans un fast-food. À 15 ans, j'ai négocié avec mes parents: "Je quitte l'école. Si je ne suis pas millionnaire à 18 ans, j'y retourne." Ils ont accepté! Quelle folie!
Fin 2013, j'ai vendu mes bitcoins à 1200$ chacun. 120 000$ en poche à 15 piges! J'ai créé Botangle, une plateforme éducative en ligne. J'ai déménagé dans la Silicon Valley. Vous imaginez la tête des investisseurs face à un ado de 15 ans? Un jour, un cadre d'Uber m'a ri au nez. "Ton pari d'un million? Tu vas le perdre, gamin."
En 2015, j'ai vendu ma technologie. Le choix était simple: 100 000$ cash ou 300 bitcoins à 200$ pièce. J'ai pris les bitcoins, évidemment! Les gens me traitaient de fou.
2017, mes 18 ans: 403 bitcoins + des altcoins. Bitcoin à 2700$. Total: plus d'un million. Pari gagné! J'avais prédit Bitcoin à 100 000$ dans les dix ans... pas si loin du compte, non?
Aujourd'hui, à 25 ans, je garde mes actifs discrets. Je me présente juste comme "le plus jeune millionnaire Bitcoin". Pas mal pour un gamin qui devait finir chez McDo, hein?
Mon secret? Pas de chance, que des couilles! Quand tout le monde rigolait du Bitcoin, j'ai foncé. Quand on me disait de rester à l'école, j'ai tracé ma route.
Vous savez quoi? Cette société veut nous formater: "Sois raisonnable, prends pas de risques." Moi je dis merde à ça. Aujourd'hui, c'est plus Bitcoin qui me fait vivre, mais cette mentalité de prendre des risques calculés.
Ce marché crypto est brutal, impitoyable même. Mais putain, quand on a le cran de tenir bon pendant les tempêtes, la récompense est là. À bon entendeur...