Chers amis et supporteurs,

Les quinze derniers jours ont été une période incroyablement difficile pour moi. Malgré le support indéfectible de nombreux amis bienveillants, je me suis retrouvé dans un état de profonde détresse, culminant en un effondrement émotionnel dimanche soir dernier. Je regrette profondément que vous ayez dû être témoin d'un côté si vulnérable de moi, et j'ai vraiment honte de mon incapacité à gérer des affaires personnelles avec la sérénité qui était attendue de ma part.

Depuis dimanche dernier, mon ancien partenaire partage des vidéos et effectue des diffusions en direct en portant diverses accusations à mon encontre. Je me suis abstenu de répondre immédiatement, principalement par souci du bien-être de notre enfant et du processus de rétablissement de mon ex-partenaire. Beaucoup m'ont contacté, m'exhortant à endurer cette épreuve avec stoïcisme, me rappelant mes responsabilités en tant qu'homme.

Bien que nous nous soyons séparés il y a trois ans et demi, le lien de la parentalité nous connecte toujours. J'ai toujours considéré mon ex-partenaire comme de la famille, et je pense qu'il est de mon devoir de porter le poids de notre passé commun. Cependant, certaines des allégations formulées sont de nature grave, pouvant constituer un comportement criminel. Mon silence sur ces questions pourrait être interprété à tort comme une admission de culpabilité.

Je ne suis pas qu'un individu ; je suis un père et une figure clé dans une entreprise. Accepter ces accusations sans contestation non seulement ternirait ma réputation, mais pourrait également compromettre l'avenir de l'organe de presse à l'étranger que notre équipe a construit avec tant de peine au fil des ans.

Après mûre réflexion, je me sens obligé d'aborder ces questions publiquement. Je m'excuse d'avance pour tout inconfort que cela pourrait causer, car cela implique des informations sensibles concernant plusieurs parties, y compris un mineur. Mon intention n'est pas de rendre nos affaires privées soumises à un examen public, mais plutôt de fournir des éclaircissements sur des points cruciaux. Bien que je ne partagerai pas de communications privées ou de documents juridiques, je jure solennellement que les déclarations suivantes sont véridiques :

1. Je nie catégoriquement toute allégation de violence domestique, que ce soit dans notre pays d'origine ou à l'étranger, pendant ou après notre mariage. Mon ex-partenaire a lutté contre une dépression sévère, entraînant souvent des comportements extrêmes. Tout contact physique entre nous était uniquement destiné à prévenir des tragédies potentielles, jamais dans l'intention de causer du tort.

2. Notre déménagement à l'étranger était principalement motivé par les opportunités éducatives pour notre enfant et les avantages potentiels d'un nouvel environnement pour la santé mentale de mon ex-partenaire. La décision a été prise conjointement après une réflexion approfondie.

3. Contrairement aux affirmations, notre accord de divorce reconnaît explicitement la possibilité de remariage pour les deux parties et comprend des dispositions pour protéger les droits de tous les enfants dans un tel événement.

4. Les arrangements financiers pris lors de notre divorce reflétaient ma situation à l'époque. À mesure que ma situation s'est améliorée, j'ai volontairement augmenté mon support au-delà des montants stipulés pour garantir un mode de vie confortable à mon ex-partenaire et à notre enfant.

5. Après le divorce, j'ai constamment accordé la priorité au bien-être de mon enfant et de mon ex-partenaire, souvent au prix de sacrifices personnels significatifs. Cela inclut la recherche d'un logement adapté et le soutien continu dans divers aspects de leur vie.

6. Récemment, un bouleversement émotionnel est survenu lorsque mon ex-partenaire a appris un développement personnel important dans ma vie. Je reconnais mes lacunes dans la gestion de cette communication sensible.

7. Il est crucial de comprendre que la lutte continue de mon ex-partenaire contre la dépression peut parfois brouiller la frontière entre l'émotion et le fait. Je ne crois pas qu'il y ait une tromperie intentionnelle dans ses récentes déclarations, mais plutôt une manifestation de son état.

J’implore tout le monde d’aborder cette situation avec compassion et compréhension. Ce dont mon ex-partenaire a besoin maintenant, c’est d’un soutien professionnel pour retrouver une stabilité émotionnelle, et non d’une agitation supplémentaire par le biais de discours en ligne.

Pour conclure, je demande aimablement de la confidentialité et de la compréhension alors que nous naviguons dans cette période difficile. Mon objectif principal reste le bien-être de notre enfant et le soutien à la réhabilitation de mon ex-partenaire. Je suis déterminé à favoriser un avenir plein d'espoir pour tous les concernés.

Merci pour votre soutien continu et votre compréhension pendant ces périodes difficiles.